publié le 13 janv. 2017, 04:51 par Laurine DESCHAMPS
Le Groupe TF1 recherche pour sa Direction des Marques un assistant chef de projet marketing pour un stage à partir de janvier 2017 Contexte : Le Groupe TF1 tout en continuant de se renforcer sur son cœur de métier, la télévision, s’est diversifié notamment sur le web et les supports digitaux, dans les droits audiovisuels, la production, le télé-achat, les licences et les jeux. Depuis 2016, le groupe TF1 réorganise ses activités autour de 3 domaines d’activités – la Création , avec la production exécutive, les coproductions internationales, l’acquisition de droits et le développement de catalogues et de formats ; – l’Edition avec les offres de contenus adaptées à chaque marque et support, la programmation et la promotion des contenus ; – la Commercialisation de nos antennes et de nos offres avec une valorisation des marques et des métiers liés à l’Entertainment et la diversification. Dans ce contexte la Direction des Marques, rattachée à la direction de la communication et des Marques pilote les activités de branding sur les marques structurelles (Corporate, chaines et programmes) du Groupe TF1. Au sein de cette équipe de 6 personnes vous serez rattaché(e) à un chef de projet marketing senior sur des missions de pilotage des marques pour les différentes filiales. Vous assurerez notamment les missions suivantes. Vos missions principales – Participation à la réflexion sur les positionnements marketing et l’image des marques du Groupe : TF1, Groupe TF1, TF1 Publicité, TF1 Entertainment… – Participation à la mise en œuvre et le déploiement du positionnement de ces marques sur les cibles externes. Relation avec agences Design et agence de publicité. – Alimentation d’un Brand Center interne pour le pilotage global des marques du groupe TF1. Activités – Réalisation des briefs aux agences, rapports et documents d’analyse marketing. – Suivi de production des campagnes de communication, marques. – Aide à la mise en place d’outils marketing partagés et transversaux Groupe TF1 – Brief, suivi et analyse des études sur les marques et problématiques du groupe en lien avec le service Etudes de la direction – Veille: suivi des tendances de société, campagnes publicitaires et stratégie marketing des groupes media – Réalisation et mise en forme de présentations ppt – Recherche iconographique – Suivi budgétaire des projets Profil recherché : De formation supérieure en Marketing (école de Commerce ou spécialité Marketing, Master Universitaire, ou équivalent). Déjà une expérience chez l’annonceur ou en agence conseil en communication sur des sujets marketing, communication, planning stratégique Vous êtes reconnu(e) pour votre : - rigueur,
- dynamisme
- curiosité et ouverture d’esprit
- autonomie et force de proposition, sens de l’initiative
- raisonnement structuré, capacité d’analyse sur des thématiques de fond
- capacité de synthèse.
- sensibilité à la création et au design de marque.
- aisance rédactionnelle
- aisance relationnelle et votre capacité à travailler en équipe
Vous maitrisez parfaitement les outils informatiques (Word, Excel, Power point) Un plus pour une maitrise des outils de PAO (Photoshop, Indesign, Illustrator) mais non obligatoire
Durée : 6 mois ou plus, à partir de Janvier 2017 (idéalement jusqu’à fin 2017). |
publié le 1 juil. 2016, 01:30 par Alexandre Landeau
Famille/ Filière Intitulé du poste Contrat Statut Durée du contrat Contexte
Description de la mission
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Comptabilité/Gestion/Finance - Finance Stagiaire Développement Groupe H/F Stage Employé 6 mois
Le Groupe TF1 exploite des chaînes de télévision en France. Parmi elles, LCI, mais aussi TMC et NT1 !
Mais le Groupe ne compte pas que ses chaînes ! TF1 a engagé depuis plus de 25 ans une diversification de
ses activités et compte près de 30 filiales dans des métiers aussi divers que le négoce international de droits
audiovisuels, la production TV, le digital, le téléachat et l'e-commerce, mais aussi l'exploitation de salles et la
production de spectacle, les licences et les jeux !
Ainsi, pour soutenir l'activité de développement du Groupe TF1, la Direction du Développement Groupe
recherche un(e) stagiaire à compter de septembre 2016.
Votre rôle sera d'appuyer les chargés de mission dans leurs principaux projets (partenariats, projets de
croissance interne et externe).
Pour cela, vous travaillerez étroitement avec les chargés de mission de l'équipe sur des sujets variés comme :
- La veille stratégique et concurrentielle sur les différentes activités du Groupe
- La recherche d'opportunités de développement pertinentes pour le Groupe TF1
- L'analyse des cibles et des synergies avec le Groupe et de ces opportunités d'investissement
- La présentation de ces opportunités pour le Comité d'Investissement Groupe.
La participation à ces projets vous amènera à travailler avec les différents métiers (finance, juridique ...) et les
nombreuses filiales du Groupe TF1 (Diversification, TF1 Pub ...).
De formation bac +4/5 en école de commerce, d'ingénieur ou équivalent universitaire, vous êtes à la recherche
d'un stage de 6 mois vous permettant d'appréhender l'ensemble des aspects d'un projet de développement.
Boulogne
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Faisant preuve d'une bonne aisance relationnelle, vous êtes pragmatique et capable d'analyse et de synthèse.
Votre curiosité, votre intérêt marqué pour les médias, ainsi que votre niveau d'anglais sont des atouts pour ce
stage.
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publié le 30 juin 2016, 11:36 par Dorian Perron
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mis à jour : 30 juin 2016, 11:38
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Ce vendredi 1er juillet, Judith Andrès, directrice de la chaire Media & Digital, interviendra à deux reprises lors de Viva Technology, porte de Versailles. Ce salon organisé par Les Échos et Publicis rassemble, du 30 juin au 2 juillet, 400 speakers, 5000 start-ups avec l'objectif de les mettre en relation avec des investisseurs de renom (plus 100 VCs réputés seront présents) et de grandes entreprises afin d'accélérer leur croissance.
Les interventions de Judith Andrès : - Conférence "How can content producers target millenials" avec notamment Alexandre Michelin (SVP de Spicee), Maria Ferreras (directrice des partenariats chez Youtube), le vendredi 1er juillet à 14h sur la stage 6 (content, advertising, telco, marketing music)
- Animation d'un dire side chat sur l'e-sport ("Is e-sport the next big thing") avec Cédric Page, fondateur de Millenium et Directeur Général Gaming chez Webedia, le vendredi 1er juillet à 16h50 sur la stage 6 (content, advertising, telco, marketing music)
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publié le 19 juin 2016, 15:06 par Alexandre Landeau
Depuis plus de 10 ans, l’Essec prépare au sein de la Chaire Media & Entertainment de futurs managers des industries des médias, de l’information, la culture et la communication. Accompagnée par des partenaires fidèles dont les secteurs et métiers ont été parmi les premiers à se transformer sous l’impact du numérique, la Chaire a suivi ces évolutions de très longue date. Ainsi depuis quelques années, la dimension digitale est au cœur du recrutement de la Chaire, de son cursus, sa recherche, ses préoccupations. C’est tout naturellement que la Chaire a ainsi été dès l’origine activement mobilisée et impliquée dans le Centre d’Excellence Digital Business, son périmètre de référence. C’est tout aussi naturellement, pour acter de cette transformation d’ores et déjà opérée, comprise des étudiants, appuyée par ses partenaires et soutenue par ses alumnis, que la chaire affirmera désormais cette spécificité dans son intitulé, en devenant la Chaire Essec Media & Digital. L’ensemble des opérations de communication va être décliné dans les semaines qui viennent afin que cette évolution soit connue de tous et relayée dans notre communauté et plus largement dans l’ensemble des secteurs que rejoignent avec succès les jeunes diplomés de la Chaire.
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publié le 25 mai 2016, 15:00 par Alexandre Landeau
(Contribution au forum d'Avignon par Joy Habib, membre de la promotion 2016 de la Chaire)
Les créatifs de tout poil avaient beaucoup à espérer de l’ère digitale. En démocratisant à l’extrême la production et la diffusion des œuvres, Internet promettait aux aspirants artistes la possibilité d’atteindre leurs publics sans devoir se faufiler à travers les mailles du filet degatekeepers de plus en plus frileux. La disparition de l’intermédiation professionnelle dans le domaine de la culture et l’effondrement des barrières à l’entrée sur le marché de la créativité a été annoncée comme une révolution majeure : dans un article de 2015, William Deresiewicz, journaliste et auteur américain, prophétisait la mort de l’artiste et l’avènement de l’entrepreneur créatif. Pour Deresiewicz, la figure de l’artiste comme génie solitaire et reclus qui délègue aux autres la gestion prosaïque de ses affaires est une chose du passé. L’artiste aujourd’hui se double d’un entrepreneur, et, gestionnaire redoutable, il doit, pour réussir à saisir les opportunités que le XXIème siècle lui offre, prendre en charge tous les aspects de son « business » : de la création au budget. Eliz Murad, chanteuse et bassiste du groupe de rock alternatif autoproduit Teleferik, en sait quelque chose. Je lui demande une interview à travers sa page Facebook. La réponse ne se fait pas attendre : Eliz connaît l’importance de l’hyperréactivité et met un point d’honneur à rester abordable, que ce soit après ses concerts ou sur les réseaux sociaux : « C’est quelque chose que le fait d’être autoproduits nous a appris. On doit communiquer continuellement avec les gens qui nous écoutent. Quand je vais sur les pages de groupes produits, ils postent beaucoup moins souvent que nous, une fois par semaine maximum, alors que nous on fait ça de manière beaucoup plus intensive ». Eliz, qui a fait appel à une campagne de financement participatif sur la plateforme Indigogo pour produire le premier album de Teleferik, Lune Electric, reconnaît que le public joue le premier rôle dans l’histoire de son groupe : « C’est particulièrement vrai pour un groupe autoproduit, et d’autant plus que nous, nous sommes un groupe de live ! ». À en croire les performances électrisantes d’Eliz et du guitariste Arno, Teleferik est bien un groupe de live, mais aussi un groupe à la culture résolument digitale: « Il y a quelques décennies, tout cela aurait été totalement impossible ! Dans un documentaire sur les débuts des Beatles, leur premier producteur, George Martin, explique avoir très vite embauché une secrétaire pour répondre aux courriers de fans, contacter les journalistes… La secrétaire aujourd’hui, c’est Facebook. Pour la distribution de nos EP, nous avons utilisé la plateforme Zimbalam, qui met en ligne nos MP3 sur les principales plateformes de streaming et de téléchargement. Pour notre album, une maison de disque s’est chargée de la distribution, mais nous a totalement lâchés pour la promotion: nous avons dû tout faire nous-mêmes, nous sommes nos propres attachés de presse ! » On ne s’improvise pourtant pas manageur, attaché de presse et bookeur du jour au lendemain : « C’est un long apprentissage, à force d’erreurs et de fausses routes. Au fil des EP, on a compris l’importance des release party, puis de la promotion en amont… On apprend graduellement les rouages. » Si je suis impressionnée par l’énergie avec laquelle Eliz et Arno gèrent à bout-de-bras la promotion de leur groupe, je m’interroge sur le temps que cela laisse au travail artistique. Eliz avoue passer le plus clair de son temps à faire du mailing et du démarchage : « Il faut sans cesse contacter les radios, la presse, les salles de concert, puis les relancer... Ça ne me laisse pas le temps de travailler sur le deuxième album ». Difficile donc de croire totalement à la solution miracle que serait la disparition des intermédiaires si les activités de gestion, trop chronophages, empiètent sur le travail artistique… Si l’on imagine mal une touche-à-tout comme Eliz confier naïvement les rennes de son groupe à un producteur, l’aide d’un bookeur ou d’un attaché de presse seraient les bienvenus. De manière générale, si l’on applaudit la démocratisation que permet le digital dans le domaine culturel, la disparition des barrières à l’entrée simplifie et banalise un travail de création pourtant laborieux et ardu. Nous avons l’impression qu’instantanément, et sans beaucoup d’effort, nous pourrions tous devenir écrivains, photographes ou musiciens. Cela relègue la création artistique au rang de loisir, et menace l’expérimentation esthétique. « C’est particulièrement vrai pour la musique électronique, que j’apprécie beaucoup, conclut Eliz. Grâce aux nombreux logiciels faciles d’utilisation, on peut s’improviser DJ en quelques clicks alors que c’est un travail complexe ! Musicalement, le résultat est souvent indigeste. » A propos de Joy HabibJoy Habib est étudiante à l'ESSEC et membre de la chaire Média et Digital. Elle s'intéresse aux évolutions des modes de consommation et de production des contenus culturels à l'ère du digital. Passionnée d'écriture, elle publie sa première nouvelle aux éditions Buchet-Chastel en mars 2016. |
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publié le 25 mai 2016, 14:59 par Alexandre Landeau
(Contribution au forum d'Avignon par Emma Granier, membre de la promotion 2016 de la Chaire)
Quel est le point commun entre les Fatals Picards, le YouTubeur Usul et le Musée d’Orsay ? Ils ont créé une campagne de financement participatif en ligne au cours des derniers mois. Faire appel à son réseau pour financer ses créations et pallier ainsi à la diminution des subventions traditionnelles, publiques ou privées, est un modèle qui a le vent en poupe. Même si certains artistes ont encore du mal à faire ce pas vers leur public, d’autres n’hésitent pas à créer un lien avec leurs fans et s’adressent directement à eux. « Nous avons l'ambition de sortir un huitième album studio en septembre prochain, écrivent les Fatals Picards sur la plateforme Ulule. Un album qui ne pourra pas se faire sans vous. Aussi, aujourd'hui, nous vous invitons à rejoindre notre équipe ! » Une invitation bien attrayante pour les fans qui ont ainsi l’opportunité de s’impliquer dans un projet qui leur tient à cœur. En contrepartie, les artistes offrent des titres en exclusivité, des séances de dédicaces, des places de concert, etc. Une sorte de campagne marketing prospective pour une œuvre qui est encore à créer. Si cela marche pour les Fatals Picards ou pour le Musée d’Orsay c’est qu’ils possèdent d’ores-et-déjà une communauté de fans investis et actifs pour relayer leur message. Avoir un réseau est donc une condition nécessaire mais pas suffisante au succès d’une campagne dont le but est de toucher le grand public, le crowd de la désignation anglophone, crowdfunding. Mais alors, comment se fait-on financer par les foules quand on n’a pas le réseau de ces rockeurs français ou des musées parisiens ? Comme l’explique Mathieu Maire Du Poset, Directeur Général Adjoint d’Ulule, la plateforme va fonctionner comme un réceptacle, une caisse de résonance. C’est ensuite aux créateurs, auxmakers, de relayer leur campagne pour qu’elle atteigne trois niveaux de diffusion : les proches, le réseau de ces proches et enfin le grand public. Les réseaux sociaux jouent un rôle clé dans le passage d’un niveau à l’autre en donnant facilement de la visibilité aux projets. Ultime étape de ces vases communicants, l’accès à la foule garantit le succès de la campagne. L’effet boule de neige permet à certains projets d’exploser les jauges et de recevoir plus de 500% du budget initialement attendu. Idéalement, le financement participatif permettrait aux artistes de se dégager des contraintes traditionnelles des prêts bancaires et des annonceurs. Aujourd’hui, il constitue encore un apport financier complémentaire et très rares sont les artistes dont la seule source de rémunération est issue de l’économie collaborative. Le YouTubeur Usul fait partie de ces oiseaux aussi rares que chanceux. En optant pour la plateforme Tipeee, Usul a choisi un modèle un peu différent. Le business model de Tipeee est basé sur la rétribution directe ou pourboire (tip). Le réseau ne vient plus subventionner un projet à venir mais une œuvre déjà réalisée et accessible. Ainsi, le public d’Usul rémunère la série Nos Chers Contemporains avec des pourboires ponctuels ou récurrents. Tipeee a généré 700 000€ de dons depuis sa création en décembre 2013 et 67% de ces dons sont récurrents. Créant la possibilité de rémunérer mensuellement les artistes pour des contenus déjà accessibles en ligne, Tipeee change la donne. La proportion de dons réguliers traduit un désir d’implication du public dans sa consommation de produits culturels. Loin des systèmes de rémunération classiques où la répartition des revenus entre les différents ayants-droits est souvent obscure, l’économie collaborative permet d’établir un lien direct et transparent entre l’artiste et son public. Et la beauté du geste, c’est que la participation aux projets n’est pas seulement financière, elle devient très vite émotionnelle. Il y a une certaine fierté à passer devant l’Atelier du peintre de Courbet au Musée d’Orsay lorsqu’on a financé sa restauration. Le public se fait acteur du devenir de l’œuvre. A propos d'Emma GranierDiplômée d’un Master en Médiation culturelle à la Sorbonne Nouvelle, Emma est actuellement en Master à l’ESSEC et membre de la Chaire Média et Digital. Elle a travaillé sur les liens qu’entretient la musique avec les contenus audiovisuels : cinéma et jeux vidéo. Après avoir collaboré avec le Festival de Radio France à Montpellier, la Cité de la Musique et l’Alliance Française, elle s’intéresse désormais aux nouveaux moyens de financement et de développement des entreprises culturelles. |
publié le 25 mai 2016, 13:58 par Alexandre Landeau

Votre environnement
Au sein du groupe Société Générale, vous rejoindrez la Direction de la Communication qui définit, met en
œuvre, évalue les stratégies d'information, de marques et d'opinion du groupe Société Générale, assure la
cohérence de cette politique et veille au respect de celle-ci. Elle anime, coordonne, et promeut les diverses
actions qui participent au développement de l'image et de la notoriété du Groupe en s'appuyant sur toutes les
techniques et tous les moyens de communication.
Votre rôle
A ce titre et en collaboration avec votre maître d’apprentissage (ou tuteur) qui assurera votre formation, vous
participez aux missions suivantes :
- Développement des campagnes de communication publicitaire du Groupe Société Générale sur les
aspects créatifs et média :
- Réalisation des briefs ;
- Suivi du projet dont budget ;
- Production des éléments de communication offline-online (créations et plans média) ;
- Analyse des performances des campagnes.
- Pilotage et suivi de différents projets mis en place par le département Marque (hors publicité).
- Suivi de la relation quotidienne avec les agences publicitaires du Groupe (Fred &Farid et Carat).
- Conseil des différentes entités du Groupe sur des sujets de communication publicitaire en assurant le respect de la charte graphique du Groupe.
- Information des principaux acteurs de la filière communication sur les différents projets en cours.
- Veille concurrentielle.
Prenez votre place dans LA banque relationnelle, engagée pour ses clients et ses collaborateurs !
Votre profil
Vous allez préparer un Bac+5 en alternance avec une spécialité en Marketing/Publicité/Médias. Votre niveau d’anglais est opérationnel. Par ailleurs, vous maîtrisez le Pack Office et avez idéalement une première expérience en agence de
publicité.
Merci d’accompagner votre CV de votre planning de formation.
Et si c’était vous ?
Postulez dès maintenant sur https://careers.societegenerale.com/offres-d-emploi/Alternance----Charg%C3%A9-
de-Publicit%C3%A9-et-M%C3%A9dia-H-F-160006NR-fr !
Si votre candidature est sélectionnée, vous serez directement contacté par un opérationnel pour un entretien de
motivation.
Durée de l’alternance : 12 mois Alternance basée à : Paris – La Défense Gratification selon grilles de rémunération Société Générale
Pour la 3ème année consécutive, Société Générale a reçu le label « Top Employer France » pour sa politique
de Ressources Humaines.
Tous nos postes sont ouverts aux personnes en situation de handicap.
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publié le 25 mai 2016, 13:53 par Alexandre Landeau
Votre environnement Au sein du
groupe Société Générale, vous rejoindrez la Direction de la Communication qui
définit, met en œuvre, évalue les stratégies d'information, de marques et
d'opinion du groupe Société Générale, assure la cohérence de cette politique et
veille au respect de celle-ci. Elle anime, coordonne, et promeut les diverses
actions qui participent au développement de l'image et de la notoriété du
Groupe en s'appuyant sur toutes les techniques et tous les moyens de
communication. Vous
intègrerez spécifiquement l'équipe qui bâtit et met en œuvre la
stratégie de la Direction des Ressources Humaines en matière de présence sur
les réseaux sociaux, les projets digitaux et les campagnes et le site de
recrutement. Votre rôle A ce titre et
en collaboration avec votre maître de stage qui assurera votre formation, vous
participez aux missions suivantes : Vous
assisterez l'équipe sur l'ensemble des activités communication dont elle a la
charge : campagnes de recrutement, réseaux sociaux, projets de marque
employeur, publicité, rédactionnel. -
Mise en œuvre des campagnes de
communication digitale- Gestion de l’ensemble des outils de communication
(plaquettes, insertions publicitaires…) -
Animation et gestion de
contenus des réseaux sociaux (Facebook, Twitter, LinkedIn,…) -
Veille, e-réputation sur les
espaces de présence RH -
Benchmark concurrence (sites de
recrutements, présence et actions sur les réseaux sociaux) Pour toutes
ces missions, vous serez amené(e) à travailler en lien avec l’équipe des
projets digitaux du département, les équipes du recrutement et les équipes de
communication Corporate du Groupe. Prenez votre
place dans LA banque relationnelle, engagée pour ses clients et ses
collaborateurs !
Votre profil Vous êtes étudiant de niveau Bac+4/5 en Ecole
d’Ingénieur, de Commerce ou Université avec une spécialité en
Communication/Marketing. Votre niveau d’anglais est Courant. Par ailleurs, vous maîtrisez le Pack Office et de
Photoshop. Vous êtes actif(ve) sur les réseaux sociaux et
disposez d’une véritable appétence pour le digital.
Et si c’était vous ? Postulez
sur careers.societegenerale.com (Référence de l’offre : 160002VU) Si votre candidature est sélectionnée, vous
serez directement contacté par un opérationnel pour un entretien de motivation. Durée du
stage : 6 mois Début envisagé
du stage : 27 juin 2016 Stage basé à
Paris - La Défense Gratification
selon grilles de rémunération Société Générale
Pour la 3ème année consécutive, Société Générale a reçu le label « Top
Employer France » pour sa politique de Ressources Humaines.
Tous nos postes sont ouverts aux personnes en situation de
handicap.
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publié le 25 mai 2016, 13:41 par Alexandre Landeau
Votre environnement Au sein de la
Banque d’Investissement du groupe Société Générale, la Direction
« Corporate & Institutions » recherche un stagiaire pour épauler
les analystes crédit en charge des grands comptes sur les secteurs Média,
Télécom Technologie, Aérospace et Défense en Europe. Durée du
stage : 6 mois (juin-décembre) Début envisagé
du stage : juin 2016 Lieu du
stage : Paris - La Défense
Votre rôle § Réalisation d’études de risque de contrepartie sur les
clients du portefeuille, au niveau du groupe et/ou des filiales, comprenant
notamment des analyses financières, sectorielles et concurrentielles. § Traitement des propositions de crédit en relation avec les
lignes métiers du groupe, les agences françaises et implantations étrangères,
les responsables commerciaux de la banque d’investissement ainsi que la
direction des risques, § Utilisation des systèmes d’informations (notations de
contreparties, prise et suivi des d’engagements, etc.), § Synthèse des informations concernant les groupes clients,
leurs concurrents et leur secteur d’activité. Votre profil Formation :
Ecole de Commerce (2ème
/ 3ème année) ou Master 1/2 en finance Vos compétences : §
Connaissances en analyse financière. §
Rigueur, capacité d’initiative et d’adaptation. §
Autonomie et esprit d’équipe. §
Maîtrise des outils informatiques (notamment Excel et Word). §
Français et Anglais courant Et si c’était vous ? Veuillez
adresser vos CV et lettre de motivation sous objet « offre de stage
analyse crédit », aux adresses suivantes : -
Pierre
Baud : pierre.baud@sgcib.com* -
Aurore Taillefer : aurore.taillefer@sgcib.com
Pour la 3ème année consécutive, Société Générale a reçu le label « Top
Employer France » pour sa politique de Ressources Humaines et sa capacité à
développer les talents à tous les niveaux de l'organisation.
Tous nos postes sont ouverts aux personnes en situation de
handicap.
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publié le 25 mai 2016, 11:19 par Alexandre Landeau
Le privilège de préparer et accompagner une promotion d'étudiants en learning expédition en
Californie, c'est de regarder ce qu'ils regardent, de regarder comment ils regardent, de les regarder
regarder.
Dans la Silicon Valley, les grandes tendances sont assez visibles :
- le retour des corporations dans la ville de San Francisco en lieu et place de la baie, du millionnaire
Peter Thiel à Criteo en passant par Twitter,
- le ralentissement des investissements inconsidérés sur la base d'un simple executive summary
(même s'il continue d'être possible de lever des centaines de milliers de dollars en quelques
semaines),
- la structuration des étapes de financement et d'accompagnement des start-up, des incubateurs
aux accélérateurs pour toutes les tailles d’entreprises, comme nous l'expliquent les dirigeants
d'Orange Silicon Valley
- l'excellence comme mantra, posture unanimement partagée,
- le tout sur fond d'histoires d'amours et désamours d'associés millionarisés.
La génération Steve Jobs laisse la place à celle d'Elon Musk, la planète n'est plus le territoire de
référence, les nouveaux eldorados sont désormais le cloud (jetez un œil aux annonces de Samsung
dont notre hôte Français Luc Julia pilote l'innovation en Californie) et l'espace, comme en
témoignent Made in Space et ses imprimantes 3D pour les stations spatiales ainsi que les dizaines
de jeunes pousses actives sur l'ancien terrain réservé des seuls États.
Dans un mouvement d'expansion décomplexé, la Vallée investi tous les sujets de société. La
technologie n'est pas un accomplissement, le Silicon n'est plus qu'un ingrédient d'une recette
destinée à transformer l'existant : territoire, automobile (remarquable crowdsourcing réussi pour le
prochain modèle Tesla, Google cars qui se promènent dans la vallée) santé, alimentation, éducation
(quand des profs de Stanford créent Coursera), tous les grands thèmes sont investis.
Pendant ce temps, Los Angeles, plus latine et lascive, cultive de petites pousses technologiques. Sans
crier gare, la ville géante ouvre sur son vaste territoire une Silicon Beach destinée aux grandes
marques de l'Internet (Google, Facebook y sont bien arrivées et s’y étendent progressivement)
comme aux jeunes entrepreneurs (dont les entreprises françaises qu'accueille désormais l'équipe de
Laurent Ruben et son French Accelerator) qui viennent goûter aux charmes d'un rythme et d'un
climat plus doux et pour une partie d'entre eux, rapprocher les contenus et la technologie. Et quand
la technologie et les contenus convergent, Netflix s'installe pour produire directement séries et films
à Los Angeles.
Dans cette partie du monde, le discours des entrepreneurs est bien rodé : améliorer le monde.
Beaucoup plus crédible, l'envie de réussir est partout, de Berkeley à Venice Beach, dévorante et
chevillée aux tripes de ces passionnés que les échecs revigorent et que les succès inspirent.
On a bien envie d'y croire car se dégagent de nos rencontres quelques valeurs, pas toujours
nommées et pourtant partagées. Et c'est peut-être là que se trouvent les graines pour faire pousser
un autre monde.
L'observation attentive des signaux met en lumière ce mélange particulier de spécificités de la
culture américaine et de la culture digitale. Des postures et des valeurs à disséminer au plus vite,
que les Millénials , et c'est un excellent signe, semblent partager au-delà des frontières:
- d'abord que l'échec possède des vertus formidables qui peuvent en faire un atout, qu'il permet de
faire l'expérience de la résilience, qu'on a le droit de se tromper, et même celui de ne pas être
parfait,
- que s'attarder, regarder de côté, poser un regard curieux sur des terrains étrangers (tels la
physiologie du chat, mes compagnons de voyage comprendront) peut nous amener sur le bon
chemin, qu'on peut parier sur la sérendipité et que c'est une voie pour sortir des impasses
- que les frontières se sont floutées et les modèles renversés, les champions apparaissent sur des
territoires qu'ils disruptent sans en être (Uber ne possède pas un seul taxi, Airbnb aucune
chambre...) les projets doivent être pensés globaux pour prendre le monde pour échelle au risque
de donner naissance à des poneycorns, versions doudou miniatures des licornes (tribute to Carlos
Diaz)
- et enfin, et c'est la un sacré atout pour sortir des silos et du communautarisme, que faire
ensemble et valoriser la différence pourrait bien être la clé des vraies innovations.
Dans les institutions académiques, l'étincelle de la transdisciplinarité scintille de plus en plus. À San
Francisco, comme à Los Angeles, terre des studios de cinéma et des labels de musique qui
accueillent désormais la technologie comme un allié, nous avons vu et entendu l'interdisciplinarité
s'incarner dans des équipes mixtes, des compétences qui se partagent, des différences qui
s'apprécient par leur mélange. Demandez aux entrepreneurs comme aux historiques, la mixité, la
collaboration, l'échange sont devenus des règles de conduite essentielles pour piloter les
organisations.
Peut-être bien que ces valeurs pourraient faire un meilleur monde.
Il y a pourtant au moins un mais, que San Francisco ne semble pas avoir mis dans ses priorités, c'est
d'embarquer tout le monde et de s'occuper de ceux qui n'auront pas les talents et la chance
poursuivre le rythme. Dans les rues de la ville effervescente vit, ou plutôt survit, une fourmilière
peuplée de sans-abris à demi ou tout à fait fous, intensément désaxés, effrayants ou déchirants,
dans un mélange permanent avec une population active trop occupée pour les regarder.
Réussir vraiment et changer le monde, ne serait-ce pas de mettre toute cette intelligence, ces
énergies tenaces, cette ingéniosité, au service de tous et des plus fragiles ?
Moi c'est la générosité et la brillance de ces jeunes étudiants que j'ai la chance d'accompagner un
bout de chemin, brillants dans leurs fulgurances, brillants dans leurs envies et par-dessus tout
brillants dans leurs regards, qui me laisse croire à un monde meilleur pour demain. Judith Andrès
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